jeudi 27 janvier 2011

dimanche 23 janvier 2011

Pas mécontente, car depuis que j'ai commencé à me donner du mal pour être positive, je note des résultats. Faibles, mais notables.

Nous avons eu plusieurs dialogues dont je déduis qu'elle ne me croit plus trop hostile.

Ça me pose un problème, parce que je vois qu'elle marche, elle me fait confiance. Mais je me retrovue coincée : si je réagis avec sincérité, elle sera furieuse. Paraître systématiquement intéressée et impressionnée par ce qu'elle dit lui fait très plaisir.

Prenons un exemple : elle dit de son mari : "comme il est paresseux, je dois m'occuper du bébé le matin".

SOn mari ne m'est pas sympathique, mais il part travailler tous les matins. De son côté, elle a eu l'habitude de dormir jusqu'en début d'après midi. Forcément, le changement de rythme lui est pénible.

Son mari semble en effet, pour certaines choses, paresseux et mou. Un jour, il m'a aidé à rentrer un carton de jouets que j'amenais, si lentement et mollement que j'ai cru qu'il allait le faire tomber : ses mains étaient molles. Je n'ai jamais vu quelqu'un se déplacer si lentement. Il pousse de temps à autres des soupirs à fendre l'âme, sans raison apparente, ce qui lui donne l'air assez ridicule.

Ça, c'est sûr : mais même si c'était un travailleur acharné, il faudrait bien qu'elle s'occupe de son enfant après huit heures, son départ ?

Il y a eu tout une période où elle avait réussi à ce qu'il change, et donne le biberon au bébé avant de ler ecoucher pour sa sieste, avant huit heures, et donc elle pouvait à dormir jusque midi. Son idée, c'était que le bébé voyait son père le matin, puisque de toute façon il se levait, ça le fatigait un peu, et puis il redormait jusque 11 heures, elle le laissait un peu pleurer, puisle levait, lui donnait un repas et  l'emmenait à la garderie. Tranquille jusque six heures.

Mais le mari n'a plus voulu réveiller le bébé le matin avant de aprtir et l'a laissé dormir. Donc il se mettait à pleurer vers neuf heures et là il fallait se lever et s'oocuper de lui, elle était furieuse et c'était donc la faute de son mari.

Des objections de bo sens à ses remarques, avant, de par le passé, j'en ai fait : avec des résultats violents, donc là, maintenant, face à ce genre de remarque, je serre les lèvres en hochant la tête ou je dis "ah la la". Je n'espère rien, de toute façon, de remarques de ma part, je n'ai pour objectif qu'améliorer ma relation...

Mais le mensonge est tout de même troublant à assumer.