lundi 17 mai 2010

Liens

Note : Sur Bloguer ou ne pas bloguer, Olivier propose une revue de liens intéressante. On découvre des trucs inattendus et on ne sait jamais quoi.

mercredi 12 mai 2010

Communion

Mai, c'est le mois des communions et des réunions familiales....

Et dans le tas, il y a ceux qu'on aime voir et ceux qu'on n'aime pas voir...

vendredi 7 mai 2010

Petit à petit

Les choses se mettent en place dans ma vie. En place dans le sens que je veux.

Petite analyse : on n'est pas toujours maître de l'impression qu'on fait aux autres. Non. Eh bien, j'essaie d'en devenir maître, relativement à certains autres.

Par moment il me semble que c'est un esclavage - ou de l'hypocrisie. Mais c'est juste que je veux rester en contact avec certaines personnes, sans subir leurs remarques ou leur jalousie. certes, je pourrais les laisser tomber. Mais je veux d'abord tenter des rapports harmonieux avec eux, pour le bien commun. Si vraiment ça ne marche pas, on verra.

Du reste, ce sont des gens que je vois très peu. Il suffit donc enf ait, les voyant peu, de ne pas faire l'erreur de trop bavarder et raconter ma vie dans les longues périodes où on ne se voit pas (par mail par ex).

C'est surtout cela que je m'impose : une discrétion obligatoire, à moi, si bavarde.

mardi 4 mai 2010

zahia

Eh bien je trouve ce post très drôle, et très vrai. Qu'a-t-elle fait, cette fille, de si fou, à part avoir un corps que l'on a envie de placarder dans les kiosques à journaux ?

A art ça, je HAIS le temps qu'il fait : un soleil, juste pour faire envie, et par dessus, un bise glacée qui te gèle jusqu'aux os et te pétrifie les doigts... Affreux.

Ça va mieux.

dimanche 2 mai 2010

samedi 1 mai 2010

Poème

Le vent avait chassé la pluie aux larges gouttes,
Le soleil s'étalait, radieux, dans les airs,
Et les bois, secouant la fraîcheur de leurs voûtes,
Semblaient, par les vallons, plus touffus et plus verts !

Je montai jusqu'au temple accroché sur l'abîme ;
Un bonze m'accueillit, un bonze aux yeux baissés.
Là, dans les profondeurs de la raison sublime,
J'ai rompu le lien de mes désirs passés.

Nos deux voix se taisaient, à tout rendre inhabiles ;
J'écoutais les oiseaux fuir dans l'immensité ;
Je regardais les fleurs, comme nous immobiles,
Et mon coeur comprenait la grande vérité !

Ouf

Une très belle journée, aujourd'hui. Moral et dynamisme. Pas mal !
Non, pas l'oublier, c'est impossible hélas...
Mais ça se tasse doucement.