Maintenant que j'y repense, le signalement officiel n'aura surement pas lieu.
Il s'agissait surement d'une menace, de quelque chose que l'on agite.
On verra bien.
J'en ai un peu assez, surtout en raison de Natie. Qui refuse de voir la réalité. Elle prend l'enfant de Jili, elle l'accueille, elle note bien des trucs étranges ou regretables, mais quand il est question de signalement à la PMI elle se raisait : L'enfant est heureux, elle l'a vu jouer, sourire. Elle ne peut comprendre que l'on peut joeur et sourire et être malheureux.
Et traumatisé.
De toute façon, vaut-il mieux pour l'enfant d'être placé ? On ne peut pas penser une telle chose.
Natie en vient à dire que l'enfant est très dur, donc que c'est un peu normal que Jili ait du mal, au fond c'est la faute de l'enfant.
Natie a pourtant remarqué qu'il ne dort pas bien la nuit, qu'il va parfois à l'école le ventre vide, que la maitresse s'est pleint qu'il voulait piquer les gouter des autres, car il n'a pas de gouter, Jili ne pense pas à lui en donner. Elle est bien ennuyée de tout cela, mais elle n'en conclut pas que Jili est incapable de bien s'en occuper. Elle dit qu'il ne veut pas manger, donc Jili n'arrive pas à lui donner son petit déjeuner, ça n'est pas "normal", mais elle comprend Jili. Elle comprend aussi que Jili ne puisse pas le faire dormir, puisqu'il ne veut pas. Ça n'est pas Jili qui manque d'autorité et d'organisation, c'est son enfant qui est trop tètu.
Jili n'a pas eu de chance, elle a un enfant difficile.
Que faire ? La dénoncer n'est pas une solution. Je ne peux rien attendre de Natie. Le mieux est donc l'oubli, qui vient parfois, mais parfois pas.
Il s'agissait surement d'une menace, de quelque chose que l'on agite.
On verra bien.
J'en ai un peu assez, surtout en raison de Natie. Qui refuse de voir la réalité. Elle prend l'enfant de Jili, elle l'accueille, elle note bien des trucs étranges ou regretables, mais quand il est question de signalement à la PMI elle se raisait : L'enfant est heureux, elle l'a vu jouer, sourire. Elle ne peut comprendre que l'on peut joeur et sourire et être malheureux.
Et traumatisé.
De toute façon, vaut-il mieux pour l'enfant d'être placé ? On ne peut pas penser une telle chose.
Natie en vient à dire que l'enfant est très dur, donc que c'est un peu normal que Jili ait du mal, au fond c'est la faute de l'enfant.
Natie a pourtant remarqué qu'il ne dort pas bien la nuit, qu'il va parfois à l'école le ventre vide, que la maitresse s'est pleint qu'il voulait piquer les gouter des autres, car il n'a pas de gouter, Jili ne pense pas à lui en donner. Elle est bien ennuyée de tout cela, mais elle n'en conclut pas que Jili est incapable de bien s'en occuper. Elle dit qu'il ne veut pas manger, donc Jili n'arrive pas à lui donner son petit déjeuner, ça n'est pas "normal", mais elle comprend Jili. Elle comprend aussi que Jili ne puisse pas le faire dormir, puisqu'il ne veut pas. Ça n'est pas Jili qui manque d'autorité et d'organisation, c'est son enfant qui est trop tètu.
Jili n'a pas eu de chance, elle a un enfant difficile.
Que faire ? La dénoncer n'est pas une solution. Je ne peux rien attendre de Natie. Le mieux est donc l'oubli, qui vient parfois, mais parfois pas.