mardi 29 juin 2010
mercredi 23 juin 2010
Aie aie aie.
Nouvelle tempête dans le couple.
Jili est chez Natie, avec le petit Jules, qui doit suivre les errances de ses parents. Cet enfant passe son temps à changer de lieu... Il a déménagé à quatre mois et à 15, et ses parents se sont déjà séparés plusieurs fois pour se remettre ensemble.
Elle va ensuite aller une semaine chez une autre personne à la campagne.
Pfff.
Nouvelle tempête dans le couple.
Jili est chez Natie, avec le petit Jules, qui doit suivre les errances de ses parents. Cet enfant passe son temps à changer de lieu... Il a déménagé à quatre mois et à 15, et ses parents se sont déjà séparés plusieurs fois pour se remettre ensemble.
Elle va ensuite aller une semaine chez une autre personne à la campagne.
Pfff.
jeudi 17 juin 2010
Bon, parlons un peu d'autre chose !
Je suis en train de lire un roman très chouette, un vieux roman, les chroniques de San Francisco. Pas si vieux, mais pas récent, quoi. J'aime. Beaucoup.
Le temps est pourri et sans que ça me mine le moral, j'en ai marre. Je trouve la grisaille de plus en plus dure à supporter psychologiquement.
En face des chez moi, les arbres plantés il y a 5 ans commencent vraiment à s'étoffer, qu lieu de petits arbres en devenir, ça commence à donner de l'ombre, des frondaisons un peu correctes... Ouf. Sinon, ça fait très sec.
J'ai eu des nouvelles d'une amie non pas perdue de vue mais qui a déménagé et c'est un peu plus compliqué de se tenir en relation. Elle devait commencer un nouveau job à l'étranger mais ça ne s'est pas fait. Elle a été très déçue. Moi aussi. Que la vie est dure parfois.
Je suis en train de lire un roman très chouette, un vieux roman, les chroniques de San Francisco. Pas si vieux, mais pas récent, quoi. J'aime. Beaucoup.
Le temps est pourri et sans que ça me mine le moral, j'en ai marre. Je trouve la grisaille de plus en plus dure à supporter psychologiquement.
En face des chez moi, les arbres plantés il y a 5 ans commencent vraiment à s'étoffer, qu lieu de petits arbres en devenir, ça commence à donner de l'ombre, des frondaisons un peu correctes... Ouf. Sinon, ça fait très sec.
J'ai eu des nouvelles d'une amie non pas perdue de vue mais qui a déménagé et c'est un peu plus compliqué de se tenir en relation. Elle devait commencer un nouveau job à l'étranger mais ça ne s'est pas fait. Elle a été très déçue. Moi aussi. Que la vie est dure parfois.
dimanche 13 juin 2010
Je crois qu'il y a un progrès pour les points suivants : Je me suis un peu éloignée - mais pas encore assez - de Natie, la parente. En fait, j'écoute ce qu'elle dit sans trop commencer de moi même par critiquer Jili. Il faut dire aussi que Natie et Jili sont plus proches et que depuis trois mois Natie semble assez atterrée par le comportement de Jili : elle la voit et forcément, se rend compte de ce qui ne va pas. Jili se laisse aller et donc Natie voit plus ses erreurs qu'avant. Elle lui fait de petites confidences, de plus en plus nombreuses, l'appelle à la rescousse... Natie est donc amenée à approcher le quotidien de Jili. Si le mouvement s'accentue, Natie pourrait voir Jili peut-être tous les jours - ou tous les duex jours, et Jili se sent de plus en plus à l'aise... C'est donc Natie qui voit que Jili donne un peu n'importe quoi à manger à son fils, qui voit Jili se bloquer contre les infirmières qui lui font des remarques... Elle le voit, elle, ça n'est pas mes spéculations.. donc ça change aussi la façon dont Natie m'écoute.
Jili est gentille avec moi, ce qui est nouveau. Attention, nous sommes loin et je fais avec elle comme avec sa mère : je ne dis rien sur moi qui puisse occasionner des remarques. Méthode Sainte Nitouche. Je fais des gâteaux, je fais du ménage, j'ai des fins de mois difficiles et j'aime mes enfants et mon mari. Difficile de trouver une faille. Si, par exemple, je travaillais ebaucoup, je pourrais m'entendre dire que je ne m'occupe pas de mes enfants : mais je travaille très peu. Si je parlais de restaurants et de sorties, on pourrait me faire remarquer que "j'ai les moyens". Mais je parle de promenades dans le parc, d'amis qui viennent jouer à la maison avec les enfants et de musées gratuits. Et de bibliothèque. Et les courses qui font mal au dos. mais heureusement, parfois mon gentil mari m'aide.
Je crois que bientôt, je lui enverrai des recettes par mail.
Bref, avec tout ça, nos rapports sont convenables et je crois que je peux continuer dans cette voie pendant un bout de temps.
Reste une interrogation : se dit-elle !"c'est chouette d'avoird es rapports cools avec elle" ou "pour l'instant ça va mais elle ne perd rien pour attendre". Je ne parviens pas à savoir si elle est authentiquement contente de nos rapports, tout en étant plus préoccuope par sa vie, ce qui serait idéal, ou si elle se tait car je suis si Sainte Nitouche, mais qu'elle n'attend qu'une occasion pour me cracher à la figure. Je l'ai si longtemps connue hostile et agressive, que je dois me tater pour croire que c'est fini.
Ça peut être fini car je suis loin de ses circuits de vie, elle n'a pas de raison (sauf si je raconte mai vie en détail) d'être ajlouse. Sa vie c'est son mari, et elle le harcèle et le bouffe comme elle lef aisait avec moi avant.
Ça peut ne pas être fini : mais elle se tient à carreau car si elle était trop négative avec moi elle sait que Natie réagirait et désapprouverait. Donc, elle est "politiquement!" (comme moi) contrainte à la neutralité.
Je crois que c'est ça, enf ait.
mais de toute façon, quand Natie aura disparu, je pourrai m'éloigner. Il suffit de ne pas être trop précise... Trop précise dans les adresses, les numéros de tél... Du reste, elle ne se soucie pas de ça. Bon, elle a mon tel.. mais je pourrais en changer.
je dois aller jusqu'au bout de cette attitude et voir ce que ça m'apporte, comment ça se passe.
Jili est gentille avec moi, ce qui est nouveau. Attention, nous sommes loin et je fais avec elle comme avec sa mère : je ne dis rien sur moi qui puisse occasionner des remarques. Méthode Sainte Nitouche. Je fais des gâteaux, je fais du ménage, j'ai des fins de mois difficiles et j'aime mes enfants et mon mari. Difficile de trouver une faille. Si, par exemple, je travaillais ebaucoup, je pourrais m'entendre dire que je ne m'occupe pas de mes enfants : mais je travaille très peu. Si je parlais de restaurants et de sorties, on pourrait me faire remarquer que "j'ai les moyens". Mais je parle de promenades dans le parc, d'amis qui viennent jouer à la maison avec les enfants et de musées gratuits. Et de bibliothèque. Et les courses qui font mal au dos. mais heureusement, parfois mon gentil mari m'aide.
Je crois que bientôt, je lui enverrai des recettes par mail.
Bref, avec tout ça, nos rapports sont convenables et je crois que je peux continuer dans cette voie pendant un bout de temps.
Reste une interrogation : se dit-elle !"c'est chouette d'avoird es rapports cools avec elle" ou "pour l'instant ça va mais elle ne perd rien pour attendre". Je ne parviens pas à savoir si elle est authentiquement contente de nos rapports, tout en étant plus préoccuope par sa vie, ce qui serait idéal, ou si elle se tait car je suis si Sainte Nitouche, mais qu'elle n'attend qu'une occasion pour me cracher à la figure. Je l'ai si longtemps connue hostile et agressive, que je dois me tater pour croire que c'est fini.
Ça peut être fini car je suis loin de ses circuits de vie, elle n'a pas de raison (sauf si je raconte mai vie en détail) d'être ajlouse. Sa vie c'est son mari, et elle le harcèle et le bouffe comme elle lef aisait avec moi avant.
Ça peut ne pas être fini : mais elle se tient à carreau car si elle était trop négative avec moi elle sait que Natie réagirait et désapprouverait. Donc, elle est "politiquement!" (comme moi) contrainte à la neutralité.
Je crois que c'est ça, enf ait.
mais de toute façon, quand Natie aura disparu, je pourrai m'éloigner. Il suffit de ne pas être trop précise... Trop précise dans les adresses, les numéros de tél... Du reste, elle ne se soucie pas de ça. Bon, elle a mon tel.. mais je pourrais en changer.
je dois aller jusqu'au bout de cette attitude et voir ce que ça m'apporte, comment ça se passe.
jeudi 10 juin 2010
Voilà mon dilemme - il faudrait que je me relise pour voir si j'évolue ou pas.
Je SAIS qu'elle est capable de jouer des rôles sans se soucier de leur donner corps. Elle a fait semblant de faire des études et puis elle n'en faisait pas. Nos parents jouaient le jeu, la mère par entêtement, et je crois aussi qu'au fond elle se disait que cette façon d'étudier était peut-être une façon d'étudier aprmi d'autres, le père par aveuglement. Cependant, Jili n'étudiait rien et séchait les cours. Au final, elle n'a pas eu de diplomes. Depuis, plus personne ne parle de ses études. On ne dit pas qu'elle en a fait ou pas : le sujet n'est pas abordé.
L'intérêt du mensonge était d'avoir l'air de faire quelque chose, de remplir du vide, de se donner une posture sociale.
Bon. Maintenant, elle joue le rôle de la mère. Je pense qu'elle ne va pas assumer, et qu'elle va adopter les formes extérieures de la maternité, sans jouer vraiment le jeu. Déjà, j'ai appris qu'elle laissait son fils au lit tard le matin, pour ne pas se lever. Elle ne lui fait pas faire de sieste. Elle le nourrit n'importe comment. Elle cherche à le mettre à la crèche le plus sovuent possible. je ne pense pas qu'elle soit méchante avec lui, plutôt expéditive et insouciante.
Jusqu'à quel point cela peut-il être nocif ? Evidemment, c'est dur de le savoir. Son fils est tranquille, calme, gentil.
Je pense, avec l'éclairage du passé, qu'elle sera nocive pour lui. On ne peut pas faire semblant de s'occuper d'un enfant. Même si on répète sur tous les tons qu'on aime son enfant, ce ne sont que des mots. Il faut assumer avec des gestes, des actes. Elle ne les fera pas. je n'ai que mon "intime conviction" comme élément.
Si j'ajoute l'isolement dans lequel elle vit (pas d'amis) et sa pauvreté intellectuelle (pas de jeu, pas d'activité), je fais un aprallèle sinistre avec notre vie à nous, nulle et pauvre. Pour nous, au moins, nous avions à peu près des revenus et pas de parents en conflits. Mais là, c'est comme si elle allait avoir la même attitude que les aprents avec lui, et en plus des conflits entre parents.
Une mère qui va dire à son fils qu'elle l'aime, qu'elle l'aime, mais sans agir pour le prouver. Pas de distraction, pas d'amis, une vie vide. Du d´sintérêt pour son enfant. Quand il va s'opposer, je suis sûre qu'elle va lui en vouloir (comme sa mère le faisait), l'interpréter comme un rejet d'elle-même, et elle va donc le rejeter.
Donc, de même qu'elle a joué le rôle de l'étudiante sans l'être, elle va jouer le rôle de la mère sans l'être. Ça ne sera pas bon pour son enfant. Elle ne lui donnera pas de vrai amour, juste des mots, et pas d'attentions.
Et je trouve ça odieux, car ce sera comme ce que j'ai vécu, en pire. Je suppose que ça, ça s'appelle une projection. Mais je la connais et je suis sûre de ce que je dis.
mais je n'ai aucune preuve. En plus, tant qu'on ne bat pas son enfant, on ne peut rien vous reprocher.
Shit.
Objectif : apprendre à me détacher de tout ça. parfois, ça marche.
Je SAIS qu'elle est capable de jouer des rôles sans se soucier de leur donner corps. Elle a fait semblant de faire des études et puis elle n'en faisait pas. Nos parents jouaient le jeu, la mère par entêtement, et je crois aussi qu'au fond elle se disait que cette façon d'étudier était peut-être une façon d'étudier aprmi d'autres, le père par aveuglement. Cependant, Jili n'étudiait rien et séchait les cours. Au final, elle n'a pas eu de diplomes. Depuis, plus personne ne parle de ses études. On ne dit pas qu'elle en a fait ou pas : le sujet n'est pas abordé.
L'intérêt du mensonge était d'avoir l'air de faire quelque chose, de remplir du vide, de se donner une posture sociale.
Bon. Maintenant, elle joue le rôle de la mère. Je pense qu'elle ne va pas assumer, et qu'elle va adopter les formes extérieures de la maternité, sans jouer vraiment le jeu. Déjà, j'ai appris qu'elle laissait son fils au lit tard le matin, pour ne pas se lever. Elle ne lui fait pas faire de sieste. Elle le nourrit n'importe comment. Elle cherche à le mettre à la crèche le plus sovuent possible. je ne pense pas qu'elle soit méchante avec lui, plutôt expéditive et insouciante.
Jusqu'à quel point cela peut-il être nocif ? Evidemment, c'est dur de le savoir. Son fils est tranquille, calme, gentil.
Je pense, avec l'éclairage du passé, qu'elle sera nocive pour lui. On ne peut pas faire semblant de s'occuper d'un enfant. Même si on répète sur tous les tons qu'on aime son enfant, ce ne sont que des mots. Il faut assumer avec des gestes, des actes. Elle ne les fera pas. je n'ai que mon "intime conviction" comme élément.
Si j'ajoute l'isolement dans lequel elle vit (pas d'amis) et sa pauvreté intellectuelle (pas de jeu, pas d'activité), je fais un aprallèle sinistre avec notre vie à nous, nulle et pauvre. Pour nous, au moins, nous avions à peu près des revenus et pas de parents en conflits. Mais là, c'est comme si elle allait avoir la même attitude que les aprents avec lui, et en plus des conflits entre parents.
Une mère qui va dire à son fils qu'elle l'aime, qu'elle l'aime, mais sans agir pour le prouver. Pas de distraction, pas d'amis, une vie vide. Du d´sintérêt pour son enfant. Quand il va s'opposer, je suis sûre qu'elle va lui en vouloir (comme sa mère le faisait), l'interpréter comme un rejet d'elle-même, et elle va donc le rejeter.
Donc, de même qu'elle a joué le rôle de l'étudiante sans l'être, elle va jouer le rôle de la mère sans l'être. Ça ne sera pas bon pour son enfant. Elle ne lui donnera pas de vrai amour, juste des mots, et pas d'attentions.
Et je trouve ça odieux, car ce sera comme ce que j'ai vécu, en pire. Je suppose que ça, ça s'appelle une projection. Mais je la connais et je suis sûre de ce que je dis.
mais je n'ai aucune preuve. En plus, tant qu'on ne bat pas son enfant, on ne peut rien vous reprocher.
Shit.
Objectif : apprendre à me détacher de tout ça. parfois, ça marche.
vendredi 4 juin 2010
D'une certaine façon ça recommence, j'ai eu des nouvelles qui m'inquiètent.
Je me sens plus libre, plus tranquille, mais j'y pense tout de même.
L'autre jour, j'ai eu un choc : je me suis vue, tout d'un coup, m'énervant contre elle et soudain la giflant. J'ai compris que mon agressivité envers elle n'est pas morte du tout. Ça me décourage.
Je me sens plus libre, plus tranquille, mais j'y pense tout de même.
L'autre jour, j'ai eu un choc : je me suis vue, tout d'un coup, m'énervant contre elle et soudain la giflant. J'ai compris que mon agressivité envers elle n'est pas morte du tout. Ça me décourage.
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