dimanche 18 décembre 2011

Il me semble que ça va mieux - je aprle de moi bien entendu.

Je me sens plus tranquille, moins hantée par le souci.

Une relative indifférence s'installe.

vendredi 16 décembre 2011

jeudi 15 décembre 2011

Les errements de l'amitié. 

vendredi 9 décembre 2011

"mon ventre rond la ramène à ce nourrisson qu'elle a confié à une famille plus apte il y a de longues années. Alors sa fille, elle ne fait que la rêver pour survivre."


Lu .


Quand je lis ça là je comprends.


L'enfant était un challenge, à l'époque, elle m'avait tenu de longs discours sur la maternité. 


Puis, elle ne les a plus tenu, se contentant de temps en temps de se dire fière d'être mère au foyer.


Ce qui consiste à expédier son enfant chez qui veut, ne pas faire repas, ni ménage, ni courses, et dormir le jour vivre la nuit.


Hypocrisie, comme le fait de parler de ses années de travail comme si elle avait une expérience du travail.




Cette hypocrisie, présente partout dans ses discours, me gêne. Elle remonte à longtemps.


Le plus lourd et triste : incapacité à donner.

mardi 6 décembre 2011

Déficit en communication, belle expression ! 

dimanche 4 décembre 2011

Une question que l'on peut se poser, oui....

mardi 29 novembre 2011

Aaaaah, dormir !

Moi aussi, je connais ce sentiment. Insomnie c'est affreux. 

dimanche 27 novembre 2011

jeudi 24 novembre 2011

Ce réveil métaphysique, c'est exactement ça, je m'y crois ! 
Nous sommes à non pas 6 degrés de séparations mais 4,74 degrés.

Mais parfois, on est proches et on ne communique pas....

jeudi 17 novembre 2011

Ses dernières obsessions me fatiguent. Il s'agit d'emmener l'enfant chez un psy. Je songe à l'une de mes amies qui me parlait des parents qui emmènent leurs enfants chez le psy alors qu'ils feraient mieux d'y aller.

Dans son cas, elle y va.

Mais le pauvre enfant : il a quatre ans et il va chez un psy. Son problème ? Etre élevé par une mère tarée qui lui dit qu'il la gonfle et qu'elle le rejette.

lundi 7 novembre 2011

Ce qui est bien, c'est la paix intérieur, la tranquillité.

Je fonctionne comme une intoxiquée, si je parviens à me passer d'y penser, ça va mieux.

ça implique notamment de me couper de proches qui peuvent aborder ce sujet - qui l'abordent presque systématiquement puisqu'il est douloureux pour nous. Mais qui l'abordent... pour le minimiser : tout va bien, puisque....

Je suis loin des proches depuis un mois maintenant, sans dialogue, et je ne vais pas dialoguer avant décembre (de mon fait). Je ne vais pas me rapprocher d'eux.

J'utilise le mail pour envoyer des petites infos volantes, marrantes, pas plus. Le contact est maintenu, tout va bien. De toute façon, nous n'avons rien de particulier à nous dire. Sauf parler de Jil.

Les prochains rendez vous sont donc Noël et peut-être les vacances de neige. D'ici là, je plonge dans un cotonneux silence.....

Evidemment, Jil elle même me contacte parfois.

vendredi 4 novembre 2011

Je suis contente de ne pas y avoir pensé pendant 3 jours. L'idéal serait de n'y jamais penser. On ne peut rien faire.

mercredi 2 novembre 2011

On s'habitue aux gens sur internet et je suis bien contente qu'elle soit de retour.... Bien contente. Posts légers comme des bulles de savons.

lundi 31 octobre 2011

L'éducatrice. Est-elle là pour observer ? Ou pour guider ?

Va-t-elle faire une observation de la situation, ou demeurer en guise d'appoint pour l'enfant ?

Donner le rythme. Le goûter en rentrant, le passage au parc, ou bien une histoire à la maison, puis le bain, puis le repas, puis le lit.

Est-ce l'objectif ?

J'imagine un enfant dans un chaos intérieur. Le livre d'Eli (pour le visuel). Et l'enfant dedans.

J'imagine l'éducatrice, au sein du chaos gris, construire une petite cabane, avec un nounours, des livres, un petit lit.

Si seulement.

mercredi 19 octobre 2011

Avec ce post, coeur du problème.

La personne décrite semble bien marginale, difficile, et la tolérance formidable de l'éducatrice se déduit.

Moi ce qui m'intéresse : cette tolérnce je la comprends, face à des élèves je l'ai eu car justement Jili m¡a amené très tôt à avoir des réflexions sur la norme. J'ai surement mes limites mais intellectuellement je comprends.

Vient le moment où je suis face à elle et je ne comprends pas. N'accepte pas.

1. A cause du passé. Mes souvenirs me ramènent face à des cas où il me fallait m'écraser, cesser d'exister, pour la satisfaire : renoncer à mes activités prévues, à l'organisation de mon espace, pour me plier à sa volonté. Ou alors, pour éviter de faire cela, la fuite sous un prétexte. Soit, en sa présence, il est impossible de ne pas lui céder, sans quoi l'esclandre, est tel, long, et bruyant, renaissant sans cesse de ses cendres, qu'il interdit toute activité autre que subir l'esclandre. (donc soit on cède soit on a le conflit ; sauf si on s'est fait tout petit, elle fait autre chose et vous laisse seul). Soit, on part sous un prétexte, du travail, une invitation, des courses à faire et ouf, on peut respirer.

2. A cause du présent. Le conflit a disparu puisque je fuis, mais la configuration est la même. Je pratique l'évitement, pas le temps, j'habite loin, je dois aller chez le médecin mais si je suis dispo, ça recommence. Si je peux venir deux heures, alors je peux venir la journée lui rendre visite ; puisque j'ai passé la journée chez elle, elle m'autorise à revenir demain ; j'écoute ses monologues, je suis saoule au bout d'un moment, c'est hallucinant de constater comment elle parle seule et se soucie peu de réponses. Elle parle 15 minutes, chaque phrase occasionerait une dispute si je réagissais, aussi je plaque un sourire et ne réagis pas. Elle finit par poser une question directe et je réponds en parlant lentement pour éviter encore, ne pas me piéger par irréflexion, en cédant à une impulsion.
Exemple : comment faisais-tu pour le faire manger ?
je faisais ça et ça.
Mais c'est ce que je fais et ça ne marche pas.
Ne pas répondre : non, ça n'est pas ce que tu fais. La laisser enchainer sur le caractère très particulier de son enfant, sur ses réactions totalement différentes des autres enfants, le tout entrecoupé de questions réponses avec l'enfant (hein tu aimes ennuyer maman ? hein oui tu aimes, oui je le sais je le sais )
Je baisse la tête et regarde ma montre. Fuir. Elle reparle 15 minutes sans pause. Puis, nouvelle question directe, et ainsi de suite.

Donc pas d'évolution. Pas d'évolution entre le passé et le présent. Les mêmes causes, qui créent donc les mêmes effets.

Plus jeune, refus de toutes les contraintes(devoirs, horaires, efforts).
Plus veilles, idem. Donc chomage, arrêt maladies. Mais dans le couple : ne fait pas non plus la cuisine, ni le ménage. Solution : femme de ménage, pizzas.

Mais il reste, ultime barrière, la contrainte de l'enfant : se lever le matin, préparer repas, jouer ou emmener à activité. Impossible de rester toute la journée sur la canapé devant la télé ou le PC.

L'école a considérablement arrangé ça, en libérant de longues heures durant la journée. Mais le matin avant l'école, le soir après, et le week end, la contrainte rejaillit.

Les difficultés se situent donc là maintenant. L'éducatrice dit qu'il faut des règles pour l'enfant.
Jili se dit prête à assumer ces règles, mais le père ne veut pas. Mensonge : elle n'assume aucune règle.

Mensonge aussi : elle ne veut pas faire le repas car elle a toujours détesté faire la cuisine, mangé des chips ou des pizzas. Elle dit "je n'ai pas faim à midi et c'est mauvais pour lui qu'il me voit me forcer alors je suis heureuse qu'il mange avec ses camarades".

En soi, peu importe sa motivation pour la cantine. Cette explication est l'explication psy qu'elle a présenté au psy qui lui a fait le certificat pour obtenir la cantine. Mais la vérité c'est que lacantine coupe la journée (je connais le problème). C'est vrai, le repas de midi coupe la journée, c'est chiant.

Mais il est intéressant qu'elle ait trouvé un prétexte psy (qu'elle n'assume pas) pour obtenir la cantine. Elle aurait pu obtenir son prétexte psy et dire ensuite ; je l'ai inscrit à la cantine, comme allant de soi. Personne n'aurait appelé l'école pour savoir comment elle avait obtenu la cantine.

Mais elle met ce prétexte psy en avant, pour se dédouaner de la chose. Elle ne l'a pas mis à la cantine parce que ça luif ait de plus longues journées. Elle l'a mis à la cantine pour son bien à lui (alors que c'est pour son bien à elle).

Je comprendrai et péfèrerai qu'elle dise que c'est pour son bien à elle, ça serait vrai et pas une honte.

(sans cantine, on a : 9 heures - 11 heures le matin, puis 2 heures-4heures l'aprèsmidi, ça peut être lourd).

Donc là, exemple de comportement faux.

Autre : je veux bien lui donner ds règles mais c'est son père qui refuse.

(je ne commente même pas)

Cette attitude très ancienne m'insupporte tout particulièrement car j'ai longtemps été le prétexte. (jusqu'à mon départ, et même encore sporadiquement après).

Plus le temps de continuer. Je devrai lacher, mais il y a l'enfant, le pauvre. L'abandonner ? je ne m'y résouds pas. Je suis donc contrainte à garder un lien, pour le cas où.

L'abandonner me semble criminel.

Ce que j'ai ressenti auprès de cette personne, il le ressentira. Il a peut-être commencé puisqu'il a des problèmes de comportement.

Je dois me nettoyer de la rancoeur, mais de la douleur, on peut ?






















lundi 3 octobre 2011

Pas trop de contacts avec les autres.

Soit ils ne voient pas du tout, ils ne veulent pas.

Quand elle est mieux, satisfaction. Aberrante. Comme si le cours "normal" ou attendu des choses allait reprendre, comme s'il pouvait.  Il n'y a jamais eu de cours normal des choses.

Actuellement, quand elle est mieux, elle appelle moins pour s'épancher, mais son comportement est toujours le même.

Mon inquiétude ne s'éteint jamais.

Ça ne change rien, c'est vrai.

Mon inquiétude pour l'enfant se mêle à la réactualisation de la douleur ancienne, comme une plaie qu'on gratte.

dimanche 11 septembre 2011

Je  peu plus tranquille d'avoir appris qu'elle est suivie par une éducatrice, ça veut dire qu'il y a des gens qui viennent chez elle et vont pouvoir observer.

Explication : son fils se réveille la nuit et elle ne dort pas elle même, elle est sur internet ; il ne veut pas se rendormir, elle veut u'il dorme et la laisse en paix alors elle a eu l'idée de l'enfermer dans sa chambre. Mais il hurle.
Jil suppose que suite à cela quelqu'un a prévenu les services sociaux.

Est-ce la personne qui était venu lui faire la leçon dans la rue en la voyant "malmener" (ce sont les termes de Jil) son enfant qui ne voulait pas avancer ? Cela, je ne le sais pas, à dire vrai je n'ose pas lui poser la question, elle me fait peur.

Bref, la venue des services sociaux a débouché sur l'éducatrice. Ils ont du voir que quelque chose n'allait pas. Je ne sais si c'est rassurant (du coup il y a une surveillance) ou inquiétant (ça veut dire que ça se voit, donc que ça ne va vraiment pas).

L'enfant est plus calme maintenant selon ses dires.

Il est scolarisé.

Est-ce mieux pour lui ? Oui,que d'être avec elle, je sais combien elle peut être destructrice. Mais il sent surement ce besoin de se débarrasser. Ça n'est pas génial.

Qu'est.ce qui serait idéal dans cette histoire ? je ne sais pas.

jeudi 11 août 2011

Au dernier mail reçu, je me suis posé la question : qu'est-ce que ce désir, terrible, d'avoir raison ? De lire des choses que je savais ? J'ai envie de dire : je le savais, je savais que cela se passerait comme cela, et alors ?

Quand j'avais encore des relations avec l'amie que je n'ai plus, j'aimais l'entendre me contredire. Sauf que ces contradictions étaient au fond très convenues. Quelque chose comme : chacun a son destin... laisse la libre... Tu veux diriger sa vie inconsciemment... Tu es inconsciemment normative...

Mais ça n'est pas cela. Je ne suis pas normative, sauf dans la mesure où je voudrais qu'elle gère son fils elle même et harmonieusement vis à vis d'elle même - même, par exemple, si elle ne suivait pas les normes sociales de l'éducation des enfants ; mais là, non seulement elle ne suit pas les normes, mais elle se bat contre son enfant, dont elle peine à se faire obéir, et leurs relations sont tendues.

En fait, en affirmant qu'elle peine à se faire obéir, j'ai peut-être tort : peut-être qu'elle peine à obtenir de lui un comportement qui me semblerait, à moi, excessivement exigeant. Mais je ne crois pas. Lors de son dernier conflit, elle évoque le "combat" qu'est le chemin de l'école pour elle, et le fait qu'il a failli se faire écraser un jour dans la rue, et qu'elle s'est énervé, à tel point qu'une passante lui a fait la morale. La connaissant, je l'imagine hurlante, échevélée, clamant devant tout le monde sa colère, d'une voix suraigue.

Je note aussi que le mois d'aout lui faisait peur : elle allait devoir supporter toute seule son enfant. Les indices qu'elle a du mal à supporter son fils et cherche à s'en débarrasser le plus possible sont nombreux : on n'a vraiment pas l'impression qu'elle est heureuse d'avoir un enfant, sauf théoriquement. La garderie, toutes les activités qu'elle peut luif aire faire son bonnes à prendre. mais lorsqu'elle devra perdre une ou deux heures ou faire faire un sport à son enfant, le fera-t-elle ? Car ce qu'elle veut, c'est récupérer du temps pour elle ?

Je suis curieuse de savoir ce que son enfant lui dira quand il aura 8 ou 9 ans.

Bref, ce qui mennuie tout de même est cette envie d'avoir raison, ce coté je le savais. Je le savais, tout le monde le savait - et alors ?

Comme si j'étais toujorus devant le tribunal familial et que je disais : vous voyez, j'avais raison.

Alors même que les membres de ce tribunal trouvent toujours un argument : soit le déni (toutes les mamans ont des difficultés avec leur enfant), soit l'aveuglement (comment pouvions nous deviner que cela finira comme cela ?).

Et qu'ils trouvent un argument, je le sais.

Le sujet doit donc être contourné, laissé tombé, il ne mène à rien.



mercredi 1 juin 2011

En même temps je me demande, et j'espère que je vais continuer, ce que je crains. Ce qui me fait rester indécise, sans oser dire les choses.

Il me faudrait parler avec un sourire et une intonation sympathique, pour qu'elle le prenne bien.

lundi 2 mai 2011

Ilo y a eu ce mail, le mail de trop, avec son délire perso et du coup j'ai appelé la famille pour leur dire que j'allais faire un grand pas en arrière.

je ne peux même pas être plus précise tant je crians de passer pour dingue moi si je raconte ce qu'elle m'a écrit....

dimanche 17 avril 2011

Ça a tout de même été un peu pénible, les questions inquisitrices à deux balles sur ma famille...

Heureusement que je la connais. Je l'ai vu venir avec ses questions. A propos des enfants. "Tu lui parlais d'un bonne note et tu avais l'air surprise....Il n'a pas de bonnes notes d'habitudes?"

J'ai joué les idiotes - bien, j'espère - car je ne savais que répondre.

Je déteste me vanter, et surtout me vanter des "bonnes notes" de mes enfants. Même auprès d'elle. Trop facile !

Mais surtout ce qui m'agace c'est que je sais ce que cela va donner après : elle pense que tout est lié (comme la plupart des gens). L'enfant heureux est obligatoirement un bon élève. S'il est mauvais élève, c'est qu'il y a un problème. Or, les choses sont plus compliquées que ça ! Et je ne jouerai pas ce petit jeu, trop désolant.

Pourtant, j'aimerai assez l'écraser, mais justement je n'ose pas, car ce serait peut-être écraser d'avance son fils et c'est mal... Je trouve ça si répugnant de se targuer des résultats scolaires de ses enfants... Ils font des efforts mais la mère s'en attribue le mérite...

dimanche 10 avril 2011

J'ai bien aimé ce post qui fait un bilan.  Il faut dire qu'on pourrait en faire toutes els semaines, tant ça bouge en ce moemnt !

lundi 21 mars 2011

Cette paire de chaussures achetée il y a six ans, dans le couloir.

Je suis passé devant à plusieurs reprises et il y a comme un malaise quand je les regarde. Je ne sais pourquoi.

Et puis j'ai trouvé : marron, à talon large, à cahussant triangulaire, elles ne sont tout d'abord pas mode et puis surtout elles sont sérieuse, c'est à dire : mère. Ce sont des chaussures de mère, comme jen ai vue à ma mère. Je les avais achetées pour leurs talons, je voulais des escarpins à talons, et elles remplissent cet office. Avec un pantalon qui les masque, elles s'inscrivent dans un look classique et sérieux parfois tout à fait indiqué.

Mais elles sont surtout des chuasures de mère. Peut-être de mémère.

jeudi 10 mars 2011

sentiment de liberté

un sentiment de liberté, c'est ce que je ressens.

Pour diverses raisons, je ne peux plus appeler facilement Natie, qui voyage, fait des travaux, et moi aussi je vais voyager... donc pas de liaisons avant un mois. Sauf si elle appelle, on verra bien.

Du coup, j'ai l'impression (invraisemblable) d'être libre. C'est bien ds ma tête que ça se passe ! Vu que Natie ne me pose pas de question et se moque de ce que je fais. C'est moi qui ai le mauvais réflexe de lui raconter ma vie.

Jil me semble loin... ça arrive, certains jours. Et puis j'ai joué à me voir moi très grande très haute et elle toute petite en bas. Elle m'a tant saoulé avec ses folles histoires ces derniers temps que trop c'est triop, j'ai un rejet.

Ça me reviendra surement, je recommencerai à être fascinée... obsédée. Mais là je me sens libre et c'est fort agréable.

samedi 19 février 2011


C’est l’un des films les plus attendus du moment. Sur les écrans dès ce mercredi, le deuxième volet des aventures mouvementées de Largo Winch le sera sans doute particulièrement dans les Hautes-Alpes. Car le long métrage de Jérôme Salle, qui met en vedette l’acteur Tomer Sisley, a en partie été tourné dans les cieux tallardiens...
Déjà, la bande-annonce montre quelques centièmes de secondes des scènes vertigineuses qui ont été filmées, en juin dernier, au centre école régional de parachutisme sportif  (Cerps) de Gap-Tallard. Un tournage sur lequel revient le Dauphiné Libéré (édition datée de ce mercredi).

Je suis très contente de ça.

samedi 12 février 2011

Je suis triste aujourd'hui. Cela passera, mais je suis triste. Ce sentiment irrépressible que ma vie n'est qu'un immense mensonge ou malentendu. Difficile à chasser.

Ce que j'ai cru vrai : l'amour de ma mère, la fmaille, même avec toutes les difficultés... je ne le crois plus, les derniers évènements me font douter.

Je n'ai plus envie de vraiment voir personne.

Quel hasard m'a porté là, avec ces gens là ?

Il me semble être entourée d'étrangers. Plus rien n'a de sens.

mercredi 2 février 2011

Il y a quelques jours, j'avais peurr d'elle ; sans raison, comme ça, je ressentais de la peur.

Ça, c0'est un souci : cette façon de me paniquer moi même. Et la solution est de m'éloigner de tout les gens que nous avons en commun (soit deux personnes, c'est pas la mer à boire !).

Sauf que l'une de ces deux personnes m'est très chère...

jeudi 27 janvier 2011

dimanche 23 janvier 2011

Pas mécontente, car depuis que j'ai commencé à me donner du mal pour être positive, je note des résultats. Faibles, mais notables.

Nous avons eu plusieurs dialogues dont je déduis qu'elle ne me croit plus trop hostile.

Ça me pose un problème, parce que je vois qu'elle marche, elle me fait confiance. Mais je me retrovue coincée : si je réagis avec sincérité, elle sera furieuse. Paraître systématiquement intéressée et impressionnée par ce qu'elle dit lui fait très plaisir.

Prenons un exemple : elle dit de son mari : "comme il est paresseux, je dois m'occuper du bébé le matin".

SOn mari ne m'est pas sympathique, mais il part travailler tous les matins. De son côté, elle a eu l'habitude de dormir jusqu'en début d'après midi. Forcément, le changement de rythme lui est pénible.

Son mari semble en effet, pour certaines choses, paresseux et mou. Un jour, il m'a aidé à rentrer un carton de jouets que j'amenais, si lentement et mollement que j'ai cru qu'il allait le faire tomber : ses mains étaient molles. Je n'ai jamais vu quelqu'un se déplacer si lentement. Il pousse de temps à autres des soupirs à fendre l'âme, sans raison apparente, ce qui lui donne l'air assez ridicule.

Ça, c'est sûr : mais même si c'était un travailleur acharné, il faudrait bien qu'elle s'occupe de son enfant après huit heures, son départ ?

Il y a eu tout une période où elle avait réussi à ce qu'il change, et donne le biberon au bébé avant de ler ecoucher pour sa sieste, avant huit heures, et donc elle pouvait à dormir jusque midi. Son idée, c'était que le bébé voyait son père le matin, puisque de toute façon il se levait, ça le fatigait un peu, et puis il redormait jusque 11 heures, elle le laissait un peu pleurer, puisle levait, lui donnait un repas et  l'emmenait à la garderie. Tranquille jusque six heures.

Mais le mari n'a plus voulu réveiller le bébé le matin avant de aprtir et l'a laissé dormir. Donc il se mettait à pleurer vers neuf heures et là il fallait se lever et s'oocuper de lui, elle était furieuse et c'était donc la faute de son mari.

Des objections de bo sens à ses remarques, avant, de par le passé, j'en ai fait : avec des résultats violents, donc là, maintenant, face à ce genre de remarque, je serre les lèvres en hochant la tête ou je dis "ah la la". Je n'espère rien, de toute façon, de remarques de ma part, je n'ai pour objectif qu'améliorer ma relation...

Mais le mensonge est tout de même troublant à assumer.